Aux chiottes Corneille !

Lundi aprèm, je me mets à nettoyer les toilettes méthodiquement et en pensant combien cette tâche là est pénible, et...bam !

L'abattant de la cuvette craque. 

"Oupssss ... c'est craqué cassé ou craqué réparable ?" je m'interroge aussi sec. Après examen consciencieux de la chose, mon verdict est le suivant ; réparable. Et bizarrement c'est là que surgissent les emmerdements..

Il va falloir appeler Chérinounet.

Or, cet homme là n'est pas un bricolo. Sauf pour l'informatique, et dans ce cas là on ne dit pas "bricoleur" mais "geek". Oui, Chérinounet est un geek, je vous l'expliquerai dans un post prochain.

Bref, je suis dans de sales draps. Soit je tente la réparation du siècle seule (et là mon féminisme et mon égo crient intérieurement victoire) soit j'appelle l'Homme de la maison. 

Drame Cornélien s'il en est... Ma volonté répugne à bidouiller, trifouiller, réparer quoi que ce soit. Ma vanité de féministe consent difficilement à demander secours à Chérinounet. Mes bosses de chamelle me murmurent que de toute façon, Chéri va mettre plusieurs jours avant de se pencher sur l'objet avant de déclarer d'une voix sans appel : "merdefaischierj'aipasletempspisj'yarrivepaspisj'm'demandecommentafaittoncompte" .

Une solution surgit : s'échapper pour poster un message et attendre. Je sais c'est pas joli-joli, mais j'ai tout bien nettoyé quand même.